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PUJO
 

Le toponyme du pujo en occitan signifierait un monticule, autrement dit, un puyo. En prenant en compte le caractère plat du village, le nom de Pujo aurait été auparavant signalé pour la motte féodale. Cette dernière aurait abrité le château de la célèbre Pétronille, comtesse de Bigorre  (1184 - 1251).

L'église Saint-Nicolas de Pujo date du XIXème siècle mais est reconstruite sur une église plus ancienne. Elle a les particularités d'être parée de briques et d'avoir son autel orienté à l'Ouest plutôt qu'à l'Est.

Il est possible d'affirmer que l'Homme habite l'actuel Pujo depuis au moins 2 000 ans. En effet, en plus d'une occupation médiévale, une occupation antique est attestée sur la commune au lieu-dit "Château d'Hugues". Sur ce dernier est trouvée dans les années 1960 une vaste villa gallo-romaine dit des Arrious, datant du IV ème siècle et composé d'un ensemble thermal. Cette villa, située sur un terrain privé est aujourd'hui recouverte dans le but de protéger ses vestiges.

 

 

Les petits +  

> l'aire de sport et de jeux ombragée proche du lavoir

> le métier à ferrer sur la promenade du Plech​

Pour aller plus loin : 

> archiveseneligne65/Pujo

- Le canton de Vic-en-Bigorre : Andrest, Artagnan, Caixon, Camalès, Escaunets, Marsac, Nouilhan, Pujo, St-Lézer, Sanous, Siarrouy, Talazac, Vic-en-Bigorre, Villenave-Près-Béarn, Villenave-Près-Marsac, Claude Miqueu, Vic en Bigorre, 2004 - Chapitre "Pujo" pages 95 à 102" (Disponible aux médiathèques de Montaner et Vic-en-Bigorre)

-Val d’Adour, Vic-en-Bigorre et sa région, Stéphane Abadie, éditions du Val d’Adour, 2001 - Pujo pages 30 à 40 (Disponible aux médiathèques de Rabastens-de-Bigorre et Vic-en-Bigorre)

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